- CharlinellaNouveau
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Fleuries - texte d'une amitié brisé
Ven 30 Mar 2018 - 18:31
Un texte que j'ai écris pour faire mon deuil face à ma meilleure amie qui m'as laissé dans mon desespoir.
Fleuries
Une tulipe s'est déposée habile jadis sur mon ile
Elle est jolie, ses cheveux frisent
C'est mon acolyte, mon amie
Malgré nos philosophies hétéroclites, pas immobiles
On réalise nos vies, fabrique cet avenir
Celui-ci se modifie au rythme
Du temps qui file
Semble descendre comme un accident triste
Il nous marie, créer la photographie
M'aurais-til dis ou avertis de ce pique ou cataclysme ?
Aurais-je pu nuir ?
Nostalgique
Buccolique
Mais où suis-je ?
Je réalise cette tragédie
Qui est pour moi du vide, un oubli
Je suis à la poursuite de cette tuile
Qui sans amie, fuit l'ennui
De ses souvenirs qui l'asphyxie
Surtout l'esprit
Ses crocodiles, si débiles
Volubiles l'humilient
Elle ne se plie, provocatrice
En devenir cet plante asphylle
Au corps vide
Sorti de la magie
Je me maquille pour recouvrir
De ce qui me grille
Ces insomnies, avec bougies
Remplir, telle que la superficie
Cette ligne infinie
Qui m'exorbite, m'habite
J'aimerais éclaircir
L'idéologie
Je ne le fais, la nuit
Lorsque je suis sans compagnie
je ne respire
hypersensible
j'agis en crise
en panique, créeant soucis
Impulsive maladive
Crime, délit, sursi
j'ai faillis en finir
Car j'ai fuis de ce milieu hostile
Survie est synonyme
Qui m'envahis
J'ecris aussi
Pour m'en sortir
De ces béquilles
Sans compagnie
ça m'horrifie
L'envie de partir
Pourtant fuir n'est-il pas la routine ?
En exil, avec ma valise
Semblable à la survie
Sans abri, j'apprécie
découvre des colonies
Et je respire
Adolescente au cœur fragile
Anticipe et élargis sa vie ne vivant pas le jour d'aujourdh'ui
Car on n'a dit qu'elle été une fille facile, aussi
Je croyais qu'il s'agissait de ma famille
Me prendrais-je pour une victime ?
Emancipée au plus vite aurait été mon désir
Ce n'est pas du répit
dormir, rien qu'une nuit
Je ne le mérite
Me punis
La mélancolie dicte
Quitte à ne plus se nourrir
Au dynamisme de l'anorexie
Elle qui fragilise et fatigue
Ces manies m'appauvrissent
Telles que je suis, dénutris
Car faut-il encore sortir du déni
Sans ma coquille je me brise
Sans fanatisme, sans boulimie
Sans loisirs, puisque c'est difficile de sortir
On crie
La protrectrice, belle tulipe est partie.
Charline
Fleuries
Une tulipe s'est déposée habile jadis sur mon ile
Elle est jolie, ses cheveux frisent
C'est mon acolyte, mon amie
Malgré nos philosophies hétéroclites, pas immobiles
On réalise nos vies, fabrique cet avenir
Celui-ci se modifie au rythme
Du temps qui file
Semble descendre comme un accident triste
Il nous marie, créer la photographie
M'aurais-til dis ou avertis de ce pique ou cataclysme ?
Aurais-je pu nuir ?
Nostalgique
Buccolique
Mais où suis-je ?
Je réalise cette tragédie
Qui est pour moi du vide, un oubli
Je suis à la poursuite de cette tuile
Qui sans amie, fuit l'ennui
De ses souvenirs qui l'asphyxie
Surtout l'esprit
Ses crocodiles, si débiles
Volubiles l'humilient
Elle ne se plie, provocatrice
En devenir cet plante asphylle
Au corps vide
Sorti de la magie
Je me maquille pour recouvrir
De ce qui me grille
Ces insomnies, avec bougies
Remplir, telle que la superficie
Cette ligne infinie
Qui m'exorbite, m'habite
J'aimerais éclaircir
L'idéologie
Je ne le fais, la nuit
Lorsque je suis sans compagnie
je ne respire
hypersensible
j'agis en crise
en panique, créeant soucis
Impulsive maladive
Crime, délit, sursi
j'ai faillis en finir
Car j'ai fuis de ce milieu hostile
Survie est synonyme
Qui m'envahis
J'ecris aussi
Pour m'en sortir
De ces béquilles
Sans compagnie
ça m'horrifie
L'envie de partir
Pourtant fuir n'est-il pas la routine ?
En exil, avec ma valise
Semblable à la survie
Sans abri, j'apprécie
découvre des colonies
Et je respire
Adolescente au cœur fragile
Anticipe et élargis sa vie ne vivant pas le jour d'aujourdh'ui
Car on n'a dit qu'elle été une fille facile, aussi
Je croyais qu'il s'agissait de ma famille
Me prendrais-je pour une victime ?
Emancipée au plus vite aurait été mon désir
Ce n'est pas du répit
dormir, rien qu'une nuit
Je ne le mérite
Me punis
La mélancolie dicte
Quitte à ne plus se nourrir
Au dynamisme de l'anorexie
Elle qui fragilise et fatigue
Ces manies m'appauvrissent
Telles que je suis, dénutris
Car faut-il encore sortir du déni
Sans ma coquille je me brise
Sans fanatisme, sans boulimie
Sans loisirs, puisque c'est difficile de sortir
On crie
La protrectrice, belle tulipe est partie.
Charline
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