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Karash Empty Karash

Jeu 3 Juil 2014 - 12:48
Donc je commence. Mon histoire a pour titre Karash, c'est la fusion du terme égyptien Kâ qui signifie énergie spirituelle du terme africain Ashe qui signifie pouvoir.

Synopsis :
Mon histoire se déroule en Guadeloupe. Jahren assiste a la veillé mortuaire de son père. Et quitte celle-ci plutôt car il ne supporte plus l'ambiance qui s'y dégage. De retour chez lui. Il fait la connaissant d'une jeune fille, ayant fait effraction dans son domicile. Elle affirme être sa demi-soeur et répond au nom d'Eris Bleimor. Après avoir passé la nuit a réparer la porte qu'elle avait enfoncer. Jahren décide finalement d'aller a l'enterrement de son père. De retour de l’inhumation, Eris décide d'aller faire des courses. Elle se fait aborder par un étrange individue qui n'a qu'une seule réplique a la bouche " Je peux le sentir... l'odeur du pouvoir". Inquiet Jahren enfourche son Raver(BMx) et par a sa recherche. Il fini par la retrouver. Mais l'individu se change en bête et attaque Jarhen, qu'il avait précédemment frapper avec la roue arrière de son vélo. Il tenta de s'enfuir pour protéger sa soeur. Mais la bête le rattrapa en quelque second. Résigner a mourir, il ferma les yeux et se rendit compte, qu'au final la mort de son père l'avait bien affecter. C'est alors qu'il entendit une voix qui lui permit de se raccrocher a la vie. Voir Eris prendre sa défense et se mettre en danger. Le fit prendre conscience qu'il n'était pas seul. C'est alors qu'il empoigna le guidon de son Raver et que ce
dernier se changea en une épée. Le plateau ayant doubler de volume relia le tube horizontal du cadre qui s'était effiler et le guidon devient alors le paumau de son arme. Il planta sa lame dans la gorge de la bête et celle-ci fut consumé par des flammes bleuté.
Qui en à après lui et pourquoi? Jarhen Hayuan Jaever devra en apprendre plus sur ses pouvoirs, afin de pouvoir mieux se défendre.


Quoiqu'il en soit voici quelque explication pour mieux appréhender l'univers.

L'atman est le réservoir interne de karash. Si un individu subit un traumatisme ou est sujet à une névrose. Il se créé alors une faille dans son Atman et il devient ce qu'on appel un Brisé. La manifestation de ses pouvoirs est une réponse a se traumatise. C'est en quelque sorte un mécanisme de défense pour se protéger de la névrose. Ex: Jahren a perdu son père, bricoler l'aide a oublier et décompresser, donc il développe le pouvoir de forger le métal.


Et voilà un peu comment s'articule les différentes classes dans Karash :

Jahren apprendra par la suite qu'il est un Forgeur. Qui forge le métal, C'est LJ Saincry qui lui révèlera ceci. Etant elle aussi une forgeuse(des couleur). Il se rendra compte qu'il n'y a pas que lui qui a des pouvoirs et qu'il existe 7 classe chacune lié à un des 6 sens.

Les Streamer sont les maitre des flux de karash. Ils utilisent leur yeux pour repérer les flux interne et externe, il peuvent s'en servir pour se deplacer. Ex: Hasan Heoga traceur adepte du parkour utilise son Couloir Aerien pour se deplacer plus vite et créé des bourrasque.

Les prãnistes utilise leur ouïe pour reperer les vibration et les utilise contre leur ennemi. Notre Atman est défini par une Note prédominante qui émet une vibration. Une fois qu'il l'a repérer, le prãniste peu influer sur le rythme de l'individu. Ex: Isaura Arantes utilise son tambour pour definir.la note de son adversaire, et une fois fais peu l'endormir.

Les collecteurs utilise leur sens du goût pour stocker des information. Ex: Ahkil utilise le sang de son adversaire pour

connaitre son passée et ses technique de combat.

Les Zudji son des individu qui ont des particularité animal. Ex: Secréter des infection ou des substance explosive.

Les Nyamé peuvent altérer l'espace et le temps. En d'autre terme, ils peuvent contrôler en parti la réalité. Et pour finir les Einheriar, des guerrier vertueux attacher a vie a une cause. Il utilise un artefact pour utiliser leur pouvoir. Ex: Lorenzo Galliéni utilise un chapelet d'argent avec 9 breloques qui représente chacune un pallier à franchir pour débloquer ses pouvoirs.
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Karash Empty Re: Karash

Ven 4 Juil 2014 - 9:24
Après plusieurs jours d'attente, je suis fier de vous postez le chapitre 1 de Karash. J'espère qu'il vous plaira.

Arc des Brisés

Chapitre 1 : Fragment:



Rien ne se perd, rien ne se crée...Tout ce transforme

Chapitre 1 : Fragment

Contenu caché
Ce soir là, le ciel était recouvert par d'épais cumulus à l'aspect menaçant. Au loin, un oiseau de métal essayait de se frayer un chemin tant bien que mal. Poursuivit par cette immense masse obscure, qui s'étendait déjà au dessus de l’île ; dont la clarté émise par ses bâtiments et ses rues faisait pensée au kyrielle de chandelle que l'on voit dans une église ; il réussi tant bien que mal à se poser.
En un rien de temps, une foule d’individus diverse envahirent l’aéroport.
On pouvait entendre l'annonce suivante : « A tout les passager du vol Air Caraïbe, notre compagnie vous souhaites un agréable séjour sur l'île de la Guadeloupe. »
Au même moment à l'extérieur de l’aéroport, une jeune fille posa sa valise et tout en souriant, prit une grande inspiration sous la pluie battante.
« Me voici enfin arriver chez moi ! Expira-t-elle pleine de vie.

Pendant ce temps, quelque part sur l'île. L'ambiance n'était pas à la joie ou au soulagement. La clameur des tambours créole que l'on nommaient Ka, faisaient écho à la pluie cinglante qui tombait à l'extérieur. Là, planté devant le cercueil du défunt. Un jeune garçon au teint cuivré, mal coiffé, aux cheveux lisse et court collés par la sueur. Portant un smoking qu'il n'avait pas prit la peine de bien repasser, une cravate se balançant de part et d'autre de son cou. Était planté devant le trépassé, dont le visage affiche un air paisible. Seul une vitre les séparait.

Derrière lui, un brouhaha se développait de plus en plus à mesure que ceux qui étaient venue rendre hommage au défunt arrivaient. Le jeune garçon, dont ce vacarme insupportait, pouvait distinctement entendre chacune des conversations. Ceux qui se disaient ces amis n'étaient autres que des profiteurs venue dans le but se rassasié du buffet et ce préoccupait guère du mort. Ils en venaient même à rire de lui.

« Tu sais de quoi il est mort ? Demanda une femme. »
« Un accident de voiture, il devait être saoul. Ricana l'homme qui lui répondit .»

Ces murmures semblaient l'agacer.

Dans un espace sombre un objet sphérique entrelacé par des chaînes se mit à trembler et des fissures se mirent à apparaître sur les chaînes.
Suite à cela quelqu'un s'exprima « Je peux le sentir »mais pas assez fort pour qu'on puisse l'entendre. Puis il se tue immédiatement.

Serrant les dents, baissant la tête. Le jeune garçon ne pu se retenir et s'écria : « Je n'y arrive pas !! » Stupéfait les convives tournèrent leur regard vers le jeune garçon. Et purent admirez un spectacle consternant.
-J'arrive pas à terminer ce zut de niveau ! S'écria-t-il une console à la main.
C'est alors qu'un homme d'âge mûre, rappela le jeune garçon à l'ordre en lui infligeant un coup de poing derrière la tête : « Mais qu'est-ce que tu fous Jahren !!! Tu crois que
c'est une attitude à adopter pour un enterrement, et celui de ton père qui plus est ?! »
-ça va pas tonton pourquoi est-ce que tu me frappe ? Demanda naïvement Jahren. J'essayais juste de finir mon jeu. Puisque cette veillé est nulle, elle est rempli d'hypocrite et de profiteur qui viennent juste pour la bouffe !! Cria-t-il pour que l'auditoire puisse en profiter.
Choquée par les propos du garçon, la foule commença à protester.
« Mais tu te rends compte de ce que tu dis mon garçon ? lui demanda son oncle en l'attrapant par le col et en le traînant derrière lui. »
-Oh doucement le vieux ! Rétorqua Jahren tentant toujours de terminer son jeu. Mais ou es-ce que tu m’emmènes ?
En quelque second les voilà à l'extérieur.
-Puisque tu ne sembles pas avoir la moindre once de respect, pour l'homme qu'était ton père, je te ramène chez toi. Lui sortie son oncle.

Le trajet en voiture fut plus que houleux.
« Je vois que tu es fatigué, alors tu vas rentré et te couché. Demain je repasserais te chercher pour l'enterrement. »
« Te donne pas cette peine, parce que j'irais pas. »
« Quoi ?! C'est quoi encore ces conneries Jahren ? »
« Il n'y a pas moyen que je foutes les pieds à l'enterrement de cet enfoiré, et rien sur cette terre pourra me faire changer d'avis. »
« J'espère que tu plaisantes, parce que si ce n'est pas le cas, je jure devant Dieu que je te traînerais par la peau des fesses pour t'y emmener. »
« Essaie pour voir tonton. »
« Ah ! Parce que tu crois que j'en suis pas capable ? »
« Non, mais jte dis d'essayer, moi je sais que demain je serais chez moi et j'irai nulle part. »
« Tu es désespérant Jahren. Tu le sais ça ? »
« Oui et j'en suis fier. »

De retour a son domicile, Jahren balança ses chaussures boueuse dans l'entrée, sa console entre ses mains. Il s'avança dans le long corridor, sur sa gauche se trouvait la cuisine, et sur sa droite la salle à mangé. Il grimpa les escaliers lentement, un pied après l'autre. Et s'arrêta quelque instant devant la chambre de son père, le regard vide, puis continua son chemin en traînant des pieds. Il se défit de ses vêtements qu'il trouvait étouffant et les éparpilla sur le sol comme s'il n'en accordait aucune importance. Ensuite il s'allongea sur son lit qu'il n'avait pas prit la peine de faire.
Sur l'horloge digital posé sur la table de nuit, trois heure du matin avait sonné. Il ne dormait toujours pas. Son esprit ne lui accorde pas le repos, mais son corps lui n'en pouvait plus. Il somnole.
Plus tard dans la nuit, il fut réveillé par des bruits étranges qui provenait du rez de chaussé. Quelqu'un était entrer dans la maison. Un cambrioleur ? Probablement. Il se leva en sursaut, attrapa l'une des armes accroché dans sa chambre et se dirigea prudemment en direction de la source de ce bruit. Il traverse le couloir in éclairé. Une lueur émane de la cuisine.
Jahren prend une profonde inspiration et pénètre dans la pièce en brandissant son katana.

Là une jeune fille un peu plus âgée que lui se faisait un festin au frais de la maison.

« Yo! »s'exclama-t-elle en ajoutant le geste à la parole.
« T'es qui toi ?! Et qu'est-ce que tu fous dans ma maison ?! Et pourquoi tu bouffes ma nourriture ? » Demanda-t-il en pointant son sabre vers elle.

Le jeune fille se leva.

« Eh calme toi petit ! Tu pourrais blesser quelqu'un avec ça » dit-elle en appuyant sur le sabre pour le diriger vers le sol. « Et pour répondre à ta question, je suis ta grande sœur Eris. Eriseniel Bleimor( loup de mer). Je viens d'arriver en Guadeloupe. J'ai fais un long voyage depuis la Bretagne et j'ai très faim, on ne peut pas dire que ce qu'il serve dans l'avion soit très goûteux. Alors j'ai décider de me servir. J'espère que tu ne m'en veux pas trop petit frère ? » Demanda-t-elle en lui caressant la tête et tout en prenant une bouche de pain de mie.

Elle était coiffé d'une magnifique chevelure châtain claire avec des tresses plaquées à l'avant et des cheveux onduler en arrière. Sa peau était le reflet d'un métissage réussi car elle mettait très bien en valeur ses yeux marrons. Et ses habits sentait la métropole de par leur aspect et leur couleur.

« Jolie le caleçon soit dit en passant. Souffla-t-elle d'un air moqueur. »

« Rend-moi ça ! » Répond a-t-il en lui ôtant littéralement le pain de la bouche. » Qu'est-ce que tu veux dire par grande sœur ?! »
« A vrai dire je ne suis pas ta sœur, à proprement parler, mais ta demi-soeur pour être précise. On peut dire que notre Papounet aimait vraiment les femmes » Ricana-t-elle.
L'une des deux chaînes qui entourait l'objet sphérique se disloqua et partie en morceau. L'objet se mit à miroité juste après.

Traversant une rue plongé dans les ténèbres, l'individu de la veillé renifla : « Je peux le sentir ! »

« Jte jure il est vraiment grave celui-là. Pas capable de garde sa bite dans son pantalon. Expira Jahren les épaules basse. Mais comment tu as fait pour rentrer sans les clés ? »
« Facile ! Reprit-elle avec le sourire. J'ai défoncé la porte de derrière. »
« Non j'y crois pas ! S'écria-t-il en constatant l'ampleur des dégâts. Tu l'as attaquer avec un bélier du GPI? »
Il n'y ne restait plus qu'un trou béant à la place de la poignet. Et vue l'état de ce trou, seul une arme du GPI pouvait la provoquer.
« En faite, raconta-t-elle. J'avais essayer par la porte de devant, mais comme personne n'est venue m'ouvrir, j'ai tenter ma chance par la porte derrière. Voyant de la lumière, j'ai frapper de toute mes forces croyant que tu t'étais endormie. »
« Mais la lumière que tu as vue, c'était celle du détecteur de mouvement à l'extérieur ! Que tu as activer en entrant par l'arrière idiote ! tu aurais pu m'attendre ou venir à la veiller ! »
« Euh désolé...je ne savais pas se trouvait la veillé...donc j'ai cru que. »

Le garçon poussa un long soupir et se dirigea une cabane dans le jardin de la cour-arrière. Il en sortie tout un attirail d'outil. Puis il retira la porte des ses gonds. Commençant à la raboter.

« Euh qu'est-ce que tu fais? Demanda timidement sa sœur »
« ça se voit pourtant, je répares tes bêtises. Je ne vais quand même pas dormir dans une maison avec une porte pété, Point-à-Pitre est un quartier dangereux ! »
La jeune fille tourna autour de lui, regardant au-dessus de ses épaules pour voir ce qu'il faisait.
« Waouh, tu es plutôt doué, qui t'a appris à réparer une porte ? »
Il s'arrêta un moment. Puis sortie avec peine pour ne pas dire père.
« C'est le vieux ! »
« Ce devait être un père génial, s'il a prit le temps de t'enseigner cela. »
« Te fout pas de moi ! Poussa-t-il avec une rage venu du fond de ses entrailles. Au lieu de dire des conneries, va mettre tes bagages dans la chambre d'amie. »
Son aîné s'exécuta sans dire un mot, non elle laissa s'échapper une remarque pleine de sens mais qui énerva plus Jahren : « Ou se trouve le chambre d'amis ? »
« Première étage deuxième porte à gauche !! répondit froidement Jahren en poursuivant son travail. »
S'exécutant en silence, elle se tourna une dernière fois vers le jeune garçon incommodé et lui dit ceci : « Je ne sais pas quel genre d'homme était notre père, mais grâce à lui j'ai pu te rencontrer. Et je suis très heureuse d'avoir pu rentré en contact avec ma famille. Je peux enfin me débarrasser de se sentiment de solitude qui m'habite, en me disant que j'ai enfin une personne sur qui compter. »
Sur ces mots, elle tourna les talons et disparu à l'intérieur. Laissant Jahren perplexe.
resta planter là tout la nuit à le regarder réparer la porte.

Au petit matin, elle fut réveillé par le bruit de la porte, que Jahren avait fait claquer. Elle avait dormit toute la nuit sur la pelouse, prêt de son frère.
« Hein quoi ? Qu'est-ce qu'il se passe. »
« Va te préparer on part bientôt. »
« Mais ou cela ? Bailla-t-elle en se frottant l’œil. »
« A l'enterrement du vieux. Lança-t-il avec un brin de fierté. C'est bien pour cela que tu es venue non ? »
La jeune fille dressa sur ses deux jambes à l'entente de ses mots.
« Tu as passé toute la nuit à réparer cette porte ? »
Elle admira le professionnalisme avec lequel il avait réparer cette porte. Il a raboter la porte, puis couper un morceau de bois puis percé pour y faire passer une nouvelle poignet. Il assembla le tout et revernir la porte. Tout cela en quelques heures.

Plus tard dans la journée. Les tambours résonnaient et les chanteurs déclamaient leurs vers au rythme de la marche de ceux qui transportaient le mort dans ça dernière demeure. Eris en sanglot ne quittait pas le cercueil des yeux.
« Mais pourquoi pleures-tu, tu ne le connaissais même pas ? Lança Jahren perturbé.
« Je pleurs parce que je n'aurais plus jamais l’occasion, de connaître l'homme qu'il était. De vivre des moment ou je pourrais rire et de pleurer avec lui Lui répond a-t-elle. »
Plus il passait du temps avec cette étrangère et plus un sentiment étrange emplissait son cœur.
Au loin un étrange individu assistait à la cérémonie et s'exclama pour la troisième fois : « Je peux le sentir. »

Après la cérémonie. Ils rentrèrent à la demeure familial. Jahren alla s’asseoir devant la télévisons qui se trouvait dans le salon en face de la salle à manger. Eris le regarda d'un air pensive. Puis quitta la pièce.

« C'est terrible ! S'écria-t-elle quelque instant plutard. »
le garçon sursauta.
« Qu'est-ce qui se passe ? »
« Il n'y a plus rien à manger. Pleura-t-elle en tenant une boite de céréale vide. »
« C'est normal ça !! Puisque t'a tout bouffer hier, espèce de sale morfale !! » Réprimanda-t-il.
« Qu'est-ce que je vais manger ? Demanda-t-elle en s'écroulant sur la table basse ? »
« J'en sais rien moi. »
« Mais j'ai faim moi !! »

« Si tu veux, tu n'as qu'à aller faire les courses. Je te cuisinerais quelque chose. »
« Mais je n'ai pas d'argent. Annonça-t-elle les yeux rond et humide. »
« Yen a dans le pot là. Fit-il en pointant l'objet. Prend ce qu'il te faut .»

Elle bondit de joie et sautilla en vers la sortie après avoir prit l'argent.

« Et traine pas en route, il y a eu pas mal d'agression ces temps-ci. Et rapporte-moi ma moinnaie. ajouta-t-il »
« Oui Papa ! Se moqua-t-elle en claquant la porte. »

Sur le chemin du retour.Les bras charger de bonne chose à manger, Eris affichait un sourire niais et commençait à chantonner un air sur les bon petit plat qu'elle allait manger, tout en dégustant un Ploof(Floop). Alors qu'elle était plonger dans ses rêves de nourriture, elle bouscula quelqu'un sur sa route.

« Euh désolé. Dit-elle poliment. Je ne regardais pas ou j'allais »

La personne qu'elle avait percuter, se tourna. Un homme bien plus grand qu'elle portant un sweat-shirt rouge ou était inscrit « Ministère of Pain » dont la capuche masquait la partie supérieur de son visage, un blouson en cuir marron se planta devant elle. Puis il se mit à renifler, ce qui laissa perplexe Eris.

« Je peux le sentir. Dit-il. »
« Quoi ? »
« Je peux le sentir. Répéta-t-il en tournant la tête à gauche puis à droite. »
« C'est sûrement l'odeur de mon repas à emporter que vous sentez. Fit-elle en montrant le sac de course. »
L'homme avança la tête vers la jeune fille et commença à la renifler.
« Euh mais qu'est-ce que vous faites ? C'est une manière de dire comment vous trouvez que je sens bon ? »
Il releva la tête après avoir inspecter la jeune fille et déclara d'une voix grave :
« Dis-moi ou est-il ? »
A cet instant ceux yeux se mirent à briller d'un éclat verdâtre.

Les heures se mirent à se succéder et Eris n'était toujours pas de retour. Cela commença à inquiéter Jahren qui décida d'aller à sa rencontre. Il plaqua soigneusement ses cheveux d'ébène en arrière, et plaça un serre-tête gris pour les retenir. Ceux-ci ondulaient à l'arrière de sa tête, alors qu'à l'avant ils étaient aussi lisse qu'un file d’araignée tendu. Il enfila en vitesse un tee-shirt noir, un gilet rouge à capuche, dont les bordures affichaient des traits noir saillant. Ce dernier était pourvu d'une fermeture éclaire assez imposante, qui serpentait jusqu’à un col relevé, donnant l'impression que de longue dents en fer gris protégeait la nuque du porteur. Deux chaînes argenté ; relié à une capuche reposant tranquillement à l'arrière ; glissaient de part et d'autre du col. Et un short et ses baskets complétaient son habillement.

Fila dans le garage qui se trouvait à droite de la maison. Et en sortir chevauchant un BMX ou l'on pouvait lire RAVER sur tube diagonal du cadre.

« Mais ou es-ce qu'elle a bien pu passer ? » se demanda-t-il en scrutant les environs.


Après plusieurs minutes de recherche, il l'a trouva finalement se débattant de l'emprise de l'homme mystérieux.
« Hé fous lui la paix ! Lança-t-il »

A la vue du garçon l'homme sourit et son regard perçaient toujours les voiles sombre que créait sa capuche.
« Je peux sentir que c'est toi qui l'a. Déclara-t-il. Approche je veux le sentir. »

Jahren posa son pied sur sa pédale et sprinta dans sa direction. Il prit appui sur les tubes fixés aux moyeux de sa roue avant et envoya la partie arrière de son vélo qui déclina un arc pour finir dans la gueule de son adversaire qui valdingua sur le sol.

« Et ça est-ce que tu peux le sentir ! Lança-t-il en mêlant l'action à la parole. »
L'homme se releva en affichant un large sourire.
« Pas de doute, c'est bien toi qui l'a...LE POUVOIR.Se réjouie-t-il. »

Il ôta sa capuche et son corps fit des mouvement saccadés, alors qu'il tentait de faire tourner ses membres sur eux-même. Ses poignet, ses bras, son tronc, ta tête, ses jambes, tous se tordirent. Il exerça une pression telle, que ses ligaments se déchirèrent, ses articulations se mirent à se rompre et ses os à se broyer. Un spectacle horrible, on pensait voir un pantin désarticuler. Le sang jaillissant, les os à vif tous ceci se transforma en un épais pelage et sa tête se changea en gueule.
Quand la métamorphe fut fini, il n'y avait plus d'homme. Rien qu'une bête velu au yeux d'un émeraude souillé par le sang. Ses longues oreille pointue tendaient vers l'avant comme des cornes. Une touffe de poil énorme recouvrait la base supérieur de son dos, comme une cape de velours. Ses naseaux se dilatèrent et un vapeur immonde en sortie.

Jahren le regardait horrifié. Il vit Eris sur le sol ayant le même regard. Il comprit ce qu'il avait à faire.
« C'est moi que tu veux?Alors viens me chercher.lança-t-elle en poussant un grand coup de pédale. »
La bête se mue si vite qu'elle eu le temps de rat rapper Ian qui avait déjà prit une bonne avance et de passer devant lui, le projetant au sol.

« Maintenant donne le moi ! Je veux le sentir. Dit de sa gueule bavante. »
« C'est sûrement mieux ainsi. Comme ça j'irai le rejoindre. Se dit-il en fermant le yeux face à la bête qui se tenant sur lui. »
Mais une voix retenti.
« Laisse mon frère tranquille ! »

C'était Eris qui dont la voix l'avait tirer des ténèbres. Elle lui jeta un sac de course à la face de la bête. Celle-ci arriva instantanément face à la jeune fille, son énorme patte pourvu de griffe écarlate brillait sur le visage d'Eris.
Jahren paniquer se releva. Et la dernière chaîne se rompit laissant l'objet sphérique rayonner.

La bête se prit de multiple petit disque hérissés dans le dos, hurla de douleur et se retourna. C'était Ian qui avait fragmenter et modeler les disques du pignon de son vélo. Il posa la main sur le guidon de son vélo et celui-ci ce liquéfia et se restructura pour donner une nouvelle forme.

« Laisse ma sœur tranquille. Dit-il lentement et d'un ton solennelle »

Le guidon devient un manche, et le tube diagonal du cadre se transforma en lame et entre eux deux le plateau qui avait doubler de volume les reliait.
La bête fondit alors vers Jahren qui se mit en position.
« Viens tâter de mon Raver. »
La bête donna un coup de patte circulaire. Jahren s’accroupit, glissa sur le coté et planta son épée dans le cou de la bête.
« Qui t'envoie et qu'est-ce que tu me veux ?! Interrogea Jahren. »
La bête cracha une flaque de sang, puis répondit péniblement : « Je ne peux rien te dire ou sinon ils vont me tuer. »
Il agrippa l'anneau de son épée et tira d'un coup sec et la bête hurlante, pissant le sang tituba.
« Et que crois-tu que je vais te faire, alors parle et vite ! Rétorqua-t-il. »
« Bien, dit la créature résignée, ils m'ont envoyer te tuer car tu es l'un des fragments du pourvoir... »
« Un fragment de quoi...explique toi ?! »
Mais avant de pouvoir dire quoique se soit la nuque de la bête prit feu. Puis ton son corps s'embrassa de flamme bleuté jusqu'à ce qu'il n'en resta plus rien de lui. À quelque mettre de lui. Posé sur un câble téléphonique, un corbeau poussa quelques croassement. L'oiseau avait quelque chose de différent, cela se voyait à son regard. Son œil gauche avait la même texture que le bois. Ce parasite attaquait tout le système nerveux oculaire du volatile, cela se voyait aux veines gonflées qu'il avait autour des yeux. Quelqu'un semblait avoir observer tout le combat, aux travers de cet œil.

À l'intérieur d'un bâtiment abandonner. Plongée dans l'ombre, un groupe d’individu après avoir suivit la retransmission du combat sur un écran, dont le carde était fait de racine et ou une membrane blanche servait d'écran. une voix s'exclama :

« Le forgeron est de retour. »
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